---------- - ----------CONSPIRATION d' ASSASSINAT
et d' EMPILEMENT
de CRIMES de FORFAITURES
AFFAIRE ÉTOUFFÉE
avec la COMPLICITÉ DÉLIBÉRÉE de la
COUR EUROPÉENNE
des BIDONS DROITS de l' HOMMEAffaire Karine Décombe
- TGI de Bordeaux -
- N° de Parquet 94 / 46861 - N° d' Instruction 95 / 076 -
Ma plainte dans la première année de l' affaire ,
pour homicide volontaire avec constitution de partie civile ,
auprès du Doyen des juges d' instruction de Bordeaux .
Accès direct---------- - ----------
Auteur du site :
Bernard DÉCOMBE -- Guéricom -- 07340 TALENCIEUX ( France )
Tél. : 33 ( 0 ) 4 75 34 30 80
Contact par courriel .---------- - ----------
---------- - ----------Lundi 28 octobre 2024 .
KARINE ... 30 ANS !!! !!! !!! !!! !!! !!! !!! !!! !!! !!!
Cette affaire criminelle a atteint maintenant 30 ans révolus depuis son origine ...
Elle a entamé sa 31e année , son 361e mois , et son 10 958e jour ...Cette affaire est l' objet depuis son début ,
d' un étouffement acharné ,
déployé par la totalité des rouages , et par la totalité de la caste politicarde ,
de l' appareil d' État de cette fausse république des pseudos droits de l' homme .
Cette affaire fait aussi l' objet d' un total ostracisme , par l' ensemble des médias ,
tous à l' évidence plus serviles les uns que les autres ,
et tous à la botte de ce Régime .
Les médias constituent de fait , la clé de voûte de ce Système truqué .C' est en 2002 ,
que j' ai commencé à mettre en ligne un premier petit site ,
décrivant les grandes lignes de cette affaire d'.assassinat et d' empilement de forfaitures des rouages
de l' État ; site intitulé "Vérités sur un crime".
Puis en 2003 ,
j' ai publié sur le même sujet , un site plus étoffé et intitulé " Brumes sur un assassinat ".
Enfin en 2007 ,
j' ai mis en ligne le présent site ,
" Conspiration d' assassinat et d'.empilement de crimes de forfaitures.", qui par son contenu dissipe la plus grande partie des " brumes "...
Même si tous les paramètres de l'.affaire n' y figurent pas encore au complet ...
SOMMAIRE
--- PAGE INDEX ( Haut de page ) Accès direct
--- INTRODUCTION / SCHÉMA de l' AFFAIRE Accès direct
--- DESCRIPTION RÉSUMÉE de l' AFFAIRE Accès direct
--- RÉCIT / DÉVELOPPEMENT Accès direct :
a ) - CONTEXTE du DÉBUT de l' AFFAIRE
b ) - JE me DÉPLACE RAPIDEMENT à BORDEAUX
c ) - DESCRIPTION DÉTAILLÉE du DRAME
d ) - Le MAQUILLAGE des PREUVES MATÉRIELLES ,
l' OCCULTATION des ÉLÉMENTS DIVERS ,
et l' ÉTOUFFEMENT de l' AFFAIRE .--- Commentaires des pièces jointes , en bleu-vert .
--- TENTATIVES de l' ESTABLISHMENT Accès direct
pour faire taire les dénonciations de cette CABALE d' assassinat et
de ses maquillages--- LISTE des DÉPUTÉS ou MINISTRES Accès direct
qui ont fait ou qui font silence sur cette affaire--- LISTE des ORGANES de PRESSE CONTACTÉS Accès direct
--- La BIDON COUR EUROPÉENNE des BIDONS DROITS
de l' HOMME Accès direct
--- CONCLUSIONS Accès direct--- PSEUDO- RÉPUBLIQUE et DÉMOCRATIE de THÉÂTRE Accès direct
INTRODUCTION - SCHÉMA de l' AFFAIRE :
En octobre 1994 , à Bordeaux ,
au retour d' une soirée de fête organisée par leur école ,
une bande de blousons - dorés - étudiants - soûlards ,
futures élites et valeurs sures de la nation ,
agressent dans son propre appartement , et dans l' optique d' un viol collectif ,
une camarade d' étude , ma nièce .Dès les premiers instants ,
elle est inconsidérément frappée à la tête avec un objet dur ,
et assez gravement blessée par ce coup .L' aspect apparent de la blessure ,
laisse supposer des séquelles ou infirmités irrémédiables si elle survit .Pour cette raison les agresseurs n' appellent pas les secours médicaux d' urgence ,
mais informent en revanche leur hiérarchie du " problème ".C' est un problème pour les agresseurs , mais aussi ,
un problème pour l' image de marque de l' École à laquelle appartiennent ces étudiants ,
un problème pour l' organisme de poids situé à Bordeaux auquel appartient cette école ,
un problème pour la ville en question au niveau de l' image de son " industrie " étudiante
de volumineuse importance .Dans la foulée ,
plusieurs personnalités de cette ville se conjuguent dans leurs spécialités respectives ,
pour monter une cabale ,
visant à faire achever la victime , soit par ses agresseurs , soit par 1 ou 2 hommes de main ,
et en la jetant par sa fenêtre du haut de son immeuble ,
afin de pouvoir classer l' affaire en " suicide ",
et avec la participation des divers rouages de l' Establishment .Malgré ça , et pour diverses raisons ,
les maquillages de cet assassinat et de ses preuves foirent complètement .
La grossièreté et l' énormité de l' affaire ,
apparaissent comme étant parfaitement évidentes dès les premiers jours .
L' appareil judiciaire ,
dont même les premiers écrits adressés à la famille , ne sont pas clairs ,
semble être dès le début tétanisé devant la mise à jour de ces évidences .De fait ,
malgré les éléments très nombreux , et les preuves irréfutables ,
l' affaire sera ensuite étouffée avec acharnement tout au long des années ,
et jusqu' aux sommets des gouvernements successifs ,
toutes étiquettes de boutiques politicardes confondues .L' appareil judiciaire ,
prétend avoir rendu une Ordonnance de non-lieu général dans cette affaire ,
à la date du 18 juin 1996 ,
mais n' a jamais été en mesure de produire un Acte juridiquement valide de cette sorte ,
alors que seul en tant que plaignant et partie civile ,
je serais également le principal destinataire d' un tel Acte , s' il avait réellement été rendu .Dans la même logique ,
je n' ai jamais pu , en 30 ans , avoir accès à ce dossier de prétendu " suicide ",
ni à aucune de ses pièces .Aucun des avocats de gabarits les plus divers ,
dont je possède les correspondances pour un certain nombre d' entre eux ,
et à qui j' ai proposé successivement de se charger de cette affaire au cours de ces 30 ans ,
n' a pu accéder à ce dossier de " suicide ",
ni même pu consulter et encore moins obtenir ,
un exemplaire juridiquement valide
de la prétendue ordonnance de non-lieu général , qui est pourtant un Acte public .De toute évidence , il n' y a jamais eu d' ordonnance de non-lieu général rendue dans cette affaire ,
et elle est en fait étouffée , faute de mieux , sous la longueur et la poussière du temps ,
ceci avec l' aide de la totalité des médias-aux-ordres de l' appareil d' État .Car il ne faut pas que la vérité sorte !!!
Mais rassure-toi , paisible citoyen , tu peux dormir tranquille ,
car ce genre d' histoire , c' est comme les accidents de voitures ,
lesquels c' est bien connu , n' arrivent qu' aux autres ... ... ...C' est peut être ce que pensaient aussi le ministre Robert Boulin et plus tard la députée Yann Piat , avant que la foudre leur tombe dessus , et personne n' a jamais su la vraie vérité d' aucune de ces 2 histoires .
Selon la vérité officielle , Robert Boulin s' est suicidé en se noyant lui-même personnellement tout seul et donc volontairement , dans une mare à canards de 50 cm de profondeur . De plus il portait diverses traces de coups réparties sur le corps , et donc là aussi il se serait auto-tabassé avant de se noyer !
Un site sur l' affaire Boulin : https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Robert_Boulin
Et Yann Piat a été abattue de plusieurs balles , en parfaite connaissance de son identité et de sa qualité , par une bande de petits délinquants de quartier , mais uniquement bien sur pour un motif totalement futile .
Circulez , il n' y a plus rien à voir ! https://fr.wikipedia.org/wiki/Yann_Piat
Bien d' autres personnes moins connues ou complètement inconnues , pensaient probablement aussi , mais à tord , que ce type de foudre n' avait pas de raison de leur tomber dessus .
Tel que René Chalon par exemple ...
René CHALON , modeste employé d' une entreprise de gardiennage de la région parisienne , a été froidement assassiné le 5 mars 2003 à 8.h.00 du matin , rue André-Bréchet dans le 17e ar. de Paris , dans la puissante explosion de sa voiture piégée..
Le plus étrange de l' affaire , est que les médias de tout le pays , dans leur quasi-totalité , ont fait un silence absolu , sur cet assassinat particulièrement spectaculaire ... Pourquoi ??? ...
Et que dire des multiples affaires d' assassinats de Toulouse , également grossièrement maquillées en "suicides" ; affaires toutes dans la mouvance Alègre - notables & Cie ??? ...
Sinon qu' après un temps de médiatisation , résultant probablement d' une lacune de vigilance du Système , le couvercle de l' étouffoir s' est refermé hermétiquement sur ces nombreux crimes de sang .
Un tel appareil d' État est désespérant pour le peuple qui l' a édifié .---------- - ----------
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DESCRIPTION RÉSUMÉE DE L' AFFAIRE :
1 -- Dans la nuit du jeudi 27 au vendredi 28 octobre 1994 , Karine DÉCOMBE , 21 ans , ma nièce et enfant unique de notre famille , étudiante dans une école de Bordeaux , a été agressée dans son propre appartement par une dizaine de personnes de son entourage .
2 -- Dès le début de cette agression , Karine a été frappée inconsidérément à la tête avec un objet dur , et blessée grièvement par ce coup . Puis , sans secours médicaux , elle a été enfermée dans un réduit où à travers un demi-coma , elle s' est tordue de douleur pendant au moins 2 heures , d'.après ce qu'.indiquaient divers éléments matériels , avant d'.être finalement achevée froidement .
3 -- Au petit matin , ses agresseurs , pour fuir leurs responsabilités et dissimuler ce forfait initial , ont assassiné Karine , par défenestration du haut de son immeuble donnant sur une grande artère du centre ville de Bordeaux , après avoir disposé dans l' appartement un très vague simulacre de suicide..
( Il est aussi possible que l' acte final de la défenestration ait été commis par des hommes de main , envoyés par l'.organisme qui a monté cette cabale d' assassinat , afin de se substituer à des étudiants , qui même éméchés n' avaient peut être pas le profil à réaliser ce crime sordide.)4 -- En raison des maladresses * des assassins ,
ce crime était flagrant dès les premiers regards posés sur le corps par les policiers , et dans ces conditions les identités des principaux individus en cause ne pouvaient faire aucun doute .5 -- * Maladresses ou désinvolture ?
Il semble plus que probable dans cette affaire ,
que les assassins ont pu obtenir l' assurance PAR AVANCE , entre le moment où ils ont gravement blessé Karine , et le moment où ils l' ont achevée par défenestration - il s' est écoulé donc au moins 2 heures , mais probablement davantage - QU' ILS SERAIENT PROTÉGÉS .6 -- En effet , malgré les faits flagrants , et dès la prise en mains de l'.affaire par les Autorités de Bordeaux , quelques minutes seulement après cette défenestration , ( alors qu' à ce moment les Autorités n'.étaient théoriquement pas censées connaître l' identité de la victime ni son appartenance à un milieu étudiant ...) , les nombreux éléments matériels du crime ont été dissimulés ou ignorés obstinément .
7 -- Puis , la blessure sur le sommet du crâne ,
totalement incompatible avec la position du corps ayant résulté de l' impact final de la défenestration , et preuve principale du crime ,
a été GROSSIÈREMENT et MATÉRIELLEMENT MAQUILLÉE ,
dans la chambre froide de l' Institut médico-légal de Bordeaux ,
APRÈS ma propre visite impromptue du corps ,
au cours de laquelle j' avais pu VOIR cette blessure , qui était particulièrement évidente .
( .Comme je l' ai indiqué plusieurs fois au juge d' instruction , après le dépôt de ma plainte avec constitution de partie civile , pour homicide volontaire.)8 -- Une photo a été tirée aussitôt de ce maquillage , selon toute évidence par son auteur ,
- photo tirée à la morgue donc - et a été versée au dossier de l' "enquête préliminaire" de l'.affaire ,
EN REMPLACEMENT des PHOTOS INITIALES du CORPS ,
que les policiers , ont , ou auraient normalement dû , réaliser sur le lieu de la défenestration .9 -- Les Autorités auraient prétendument conclu au " suicide " de la victime , bien que concrètement et encore 30 ans après , je n' ai jamais pu avoir de certitude sur la réalité de cette conclusion .
Conclusion qui aurait été établie , essentiellement , uniquement même , sur les déclarations visant à accréditer cette version , faites par 3 étudiants - les seuls étudiants , et quasiment les seuls "témoins" que les policiers aient voulu "entendre" - et dont il ressort de leurs propres dires tels qu' ils ont été consignés dans le " rapport d' enquête ",
QUE 2 D' ENTRE EUX , AU MOINS , ONT UN LIEN AVEC LE DRAME .10 -- Et ceci , alors que les déclarations de ces 3 étudiants ,
étaient en contradictions avec toutes les preuves matérielles , et avec tous les éléments existants .
( Bien des preuves et éléments , étaient flagrants dès les premiers instants de l' intervention des policiers .) .11 -- A contrario de l' audition pour le moins complaisante de ces 3 étudiants ,
les officiers de police ont occulté des témoins importants et indépendants du drame ,
dont ils ont eu connaissance à peu d' intervalle de temps ,
et dont les déclarations démentaient et contredisaient diamétralement les dires de ces étudiants .12 -- Les médecins légistes pour leur part ,
ont occulté dans leurs conclusions d' autopsie cette blessure à la tête , particulièrement évidente ,
et preuve principale du crime ,
qu' ils auraient normalement dû mettre au premier plan de ce rapport .
Blessure à la tête ,
que n' importe quelle personne ayant vu le corps de Karine ,
avait dû pouvoir constater de simple visu , donc sans même le besoin d' une autopsie .13 -- Le quotidien " Sud-Ouest " a publié le lendemain du drame ,
un bref article affirmant très catégoriquement qu' une " jeune femme désespérée " ( sans autre précision.) s'.était suicidée le jour précédent , du haut d' un immeuble de la rue indiquée dans son texte..
Il s' est avéré par la suite qu' il était impossible que ce " journal " ait écrit ces lignes de bonne foi .14 -- Des sommes d' argent occulte et d' une certaine importance , ont été versées dans ma
propre famille , dont une première partie au moment même de l' enterrement de Karine ,
5 jours après sa mort .
Ceci dans le but évident d' annihiler toute velléité de plainte en justice , comme j' ai d'.ailleurs
pu en avoir confirmation de fait par la suite .15 -- Mes communications , une semaine après ce drame , aux officiers de police de Bordeaux ,
de l' ensemble des éléments et preuves particulièrement visibles ,
que j' avais pu constater de visu dès les premières heures ,
sur la tête , le visage , les vêtements de Karine ,
se sont heurtées à un véritable mur de béton avec ces policiers .16 -- Mes communications de ces mêmes éléments au procureur de la république de l'.époque ,
par plusieurs courriers RAR successifs , sont restées sans réaction ni réponse juridiquement valide .17 -- Dix jours après cette mort tragique , le directeur* de l' école de Bordeaux où Karine était étudiante , a réuni la plus grande partie de ses effectifs - qui comprenaient à l' époque 700 étudiants et une soixantaine de professeurs - dans le plus grand amphithéâtre de son établissement , pour leur présenter sans ambiguïté ce drame comme étant un " suicide ".
Pour diverses raisons précises , ce directeur ne pouvait parler ainsi par maladresse ou ignorance , et ses propos ne pouvaient êtres qu' intentionnels et calculés .
Cette " conférence " sulfureuse a donc eu lieu devant plusieurs centaines de personnes .
Son existence et les propos qui y ont été tenus par le directeur de cette école , ne sont donc pour cette raison pas contestables .
( * Qui est resté au même poste jusqu' en septembre 2007, soit pendant 13 ans après ce drame . )18 -- Les différentes opérations de MAQUILLAGES de ce crime , ont forcément été organisées et conduites dans le cadre d' une ORCHESTRATION .
19 -- Les FORFAITURES qui ont eu lieu sur cet assassinat , sont plus directes , plus graves , et plus avérées encore , que dans les affaires des " DISPARUES de L'.YONNE ", ou que dans les "ASSASSINATS - ALÈGRE - NOTABLES & Cie " de la région toulousaine .
20 -- Bien que seul plaignant et seul partie civile dans cette affaire , JE N' AI JAMAIS PU AVOIR ACCÈS AU DOSSIER , que la Justice n' a jamais voulu de fait communiquer À PERSONNE , et donc a aucun avocat non plus .
21 -- Au début de l' affaire , j' avais néanmoins pu avoir en mains 2 pièces importantes du dossier
- les conclusions d' autopsie , et une photo du corps tirée aussitôt après le maquillage de celui-ci - qui étaient manifestement en contradiction l' une avec l' autre .22 -- Tous les avocats - dont certains parmi les plus médiatiques - auxquels je me suis successivement adressé , se sont empressés de prendre la fuite devant une telle affaire .
23 -- Tous les médias que j' ai informés depuis 1996 de ces faits , gardent obstinément le silence .
24 -- L' anomalie RÉVÉLATRICE , découlant du fait que la Justice n' a JAMAIS produit en réalité d'.Ordonnance de Non-lieu général , juridiquement valide , ni accepté de sortir le DOSSIER de cette affaire qu'.elle qualifie néanmoins de ".SUICIDE ", est pourtant aisément VÉRIFIABLE par n'.importe quel organe de presse .
25 -- POURQUOI , le(s) gouvernement(s) que j' ai informé(s) plusieurs fois depuis 1997, des circonstances de cet assassinat , et de ces IRRÉFUTABLES FORFAITURES de MAQUILLAGES MATÉRIELS de PREUVES , réalisées APRÈS la prise en mains de l' affaire par les Autorités de Bordeaux , n' a-t-il jamais voulu CONTRAIREMENT à ses PREMIÈRES ASSURANCES , ordonner d'.enquête sur ces faits , et a.t-il pratiqué au contraire ENSUITE , la langue de bois ???
26 -- Les divers Députés que j' ai informés de cette affaire au fil des années , depuis 2001 , sont toujours restés immobiles , voire silencieux ... Silence parlant ... ...
27 -- Les FORFAITURES du Système , concernant le maquillage d' un assassinat de droit commun., sont pourtant bel et bien un gravissime problème politique .
28 -- Quelle très haute personnalité a pu user de son influence , en octobre 1994 au moment de ce crime , pour qu' il ait été matériellement maquillé , puis étouffé ???
29 -- Et pour que l' affaire ait provoqué ensuite un tel blocage du Système ???
Le fantôme de Karine ne perd pas de vue le troupeau de rats criminels de cette affaire ...
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Ma plainte dans la
première année de l' affaire ,
pour
homicide volontaire avec constitution de partie civile ,
auprès du Doyen des juges d'
instruction de Bordeaux .
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